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Actualités mondiales : le récap’ de la semaine du 10 mars au 16 mars 2025 !

Actualités mondiales : le récap’ de la semaine du 10 mars au 16 mars 2025 !

Raoul Ledudal par Raoul Ledudal
18 mars 2025
dans Actualités, Matières
Lecture : 12 minutes

Cette semaine, l’actualité a été marquée par des décisions politiques musclées, des bouleversements économiques et des tensions judiciaires. Entre la faillite de Northvolt, qui met un coup d’arrêt aux ambitions européennes dans le secteur des batteries, et la dissolution d’une vingtaine de partis en Guinée, les équilibres mondiaux continuent de se transformer. À Cuba, un nouveau black-out plonge l’île dans le noir, tandis que Donald Trump fait à nouveau parler de lui avec l’expulsion controversée de membres d’un gang vénézuélien et une taxe explosive sur le vin français. Et pour finir, Rodrigo Duterte, l’ex-président des Philippines, a comparu devant la Cour pénale internationale pour répondre de crimes contre l’humanité. Retour sur ces cinq événements qui ont fait l’actualité.

À lire aussi, notre dernier recap’hebdo pour développer ta culture générale ! L’actualité te permet d’enrichir une copie en géopolitique ou en ESH par exemple. D’ailleurs, consulte également notre article sur Trump qui souhaite s’emparer du Groenland !

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Dissolution de partis en Guinée : une recomposition politique sous tension

Les autorités guinéennes ont annoncé la dissolution de 27 partis politiques et la suspension temporaire de 28 autres, dont des formations majeures comme le RPG d’Alpha Condé et l’UFR de Sidya Touré. Cette décision, justifiée par une évaluation des partis politiques menée par le ministère de l’Administration du territoire, s’inscrit dans un contexte de forte tension entre la junte au pouvoir et l’opposition.

Une épuration politique déguisée ?

Officiellement, l’objectif de cette opération est d’« assainir l’espace politique guinéen », en exigeant des partis de prouver leur existence administrative et financière. Ceux qui n’ont pas tenu de congrès récents ou qui n’ont pas justifié de comptes bancaires ont été suspendus. Pourtant, cette mesure vise principalement les formations d’opposition les plus influentes, dont les leaders, Alpha Condé et Sidya Touré, vivent en exil.

L’UFDG, principal parti d’opposition dirigé par Cellou Dalein Diallo, échappe de peu à la suspension, mais doit organiser un congrès dans les 45 jours sous peine de connaître le même sort. Cette injonction pose problème, car la justice guinéenne a ordonné la suspension de l’événement prévu en avril, laissant planer un doute sur l’avenir du parti.

L’opposition dénonce une tentative de musellement

Les réactions politiques ne se sont pas fait attendre. Alpha Condé a accusé la junte de chercher à « soumettre » l’opposition et de préparer le terrain pour un monopole du pouvoir. Les Forces Vives de Guinée (FVG), collectif regroupant les principaux partis d’opposition et organisations de la société civile, dénoncent une « tentative d’élimination de la scène politique des partis les plus représentatifs ».

Dans un climat de répression marqué par la disparition de plusieurs opposants et une restriction des libertés, ces suspensions prennent une dimension hautement politique. L’AfD, parti d’extrême droite allemand, s’est d’ailleurs emparé du sujet pour critiquer la gestion des régimes militaires africains, illustrant l’écho international de cette crise.

Une transition sous pression avant les élections de 2025

La junte dirigée par Mamadi Doumbouya avait promis, sous la pression internationale, un retour au pouvoir civil avant la fin de 2024. Cette échéance n’a pas été respectée, et le Premier ministre Amadou Oury Bah a récemment annoncé qu’un référendum, ainsi que des élections présidentielle et législatives, se tiendront cette année. Pourtant, aucun calendrier précis n’a été fixé.

En attendant, ces dissolutions et suspensions apparaissent comme un moyen d’affaiblir les partis les plus influents avant le scrutin. Si les élections de 2025 doivent permettre un retour à l’ordre constitutionnel, elles pourraient bien se dérouler dans un climat où la démocratie guinéenne sera déjà profondément remaniée.

Cuba plongée dans le noir : un nouveau black-out paralyse l’île

Cuba a une nouvelle fois été frappée par une panne généralisée d’électricité, privant la grande majorité des 9,7 millions d’habitants de courant. Ce quatrième black-out en moins de six mois met en lumière la crise énergétique profonde du pays, alimentée par un réseau vétuste et des pénuries de combustible.

Découvre notre article pour tout comprendre à la crise de Cuba !

Un réseau électrique au bord de l’effondrement

Vendredi soir, une avarie survenue dans une sous-station de la banlieue de La Havane a entraîné la déconnexion totale du réseau national. En quelques minutes, l’ensemble de l’île s’est retrouvée plongée dans l’obscurité. Les conséquences ont été immédiates : absence d’eau courante, paralysie des transports, et coupure des communications téléphoniques.

Ce black-out est le dernier d’une longue série. En 2024, trois pannes généralisées avaient déjà affecté le pays, dont certaines avaient duré plusieurs jours. En février dernier, le gouvernement avait même suspendu toute activité pendant deux jours pour économiser l’énergie et éviter une nouvelle catastrophe électrique.

Une crise énergétique aggravée par l’embargo et le vieillissement des infrastructures

Le réseau électrique cubain repose sur huit centrales principales, presque toutes mises en service dans les années 1980 et 1990. Ces infrastructures vieillissantes connaissent des pannes fréquentes et nécessitent des maintenances prolongées. Pour compenser, Cuba a recours à des centrales flottantes louées à une entreprise turque et à des générateurs fonctionnant au diesel. Cependant, le pays peine à se procurer du carburant en raison de l’embargo américain qui complique ses importations.

Dans certaines provinces, les délestages peuvent durer plus de 20 heures par jour, rendant la vie quotidienne extrêmement difficile. À La Havane, les coupures d’électricité sont devenues si courantes que les habitants organisent leur emploi du temps en fonction des horaires d’alimentation en courant.

Un espoir dans l’énergie solaire ?

Face à cette crise, le gouvernement cubain tente d’accélérer la transition énergétique. D’ici la fin de 2025, l’île prévoit l’installation de 55 parcs solaires équipés de technologie chinoise. Ces infrastructures devraient permettre de produire 1 200 mégawatts, soit environ 12 % de la consommation nationale.

Malgré ces efforts, l’urgence reste totale. Pour de nombreux Cubains, comme Xiomara Castellanos, 82 ans, la situation devient insoutenable. « Que Dieu nous aide, ce pays va de mal en pis ! », confiait-elle, inquiète pour la nourriture stockée dans son réfrigérateur.

Alors que l’électricité revient progressivement, avec un rétablissement complet attendu ce lundi matin, la population reste dans l’incertitude. Si rien n’est fait pour moderniser durablement le réseau électrique cubain, ces black-out pourraient bien devenir la norme plutôt que l’exception.

Faillite de Northvolt : un coup dur pour l’industrie européenne des batteries

Le fabricant suédois de batteries Northvolt, longtemps considéré comme le fer de lance de l’Europe dans la course aux batteries pour véhicules électriques, a déposé le bilan le 12 mars. Ce revers marque un échec majeur pour l’industrie automobile européenne et souligne les difficultés à concurrencer les géants asiatiques.

Un projet ambitieux qui s’effondre sous le poids des dettes

Fondé en 2016, Northvolt avait levé plus de 13 milliards d’euros auprès d’investisseurs privés et d’institutions publiques, dont Volkswagen, Goldman Sachs et la Banque européenne d’investissement. L’entreprise espérait créer un « Airbus de la batterie » pour réduire la dépendance européenne aux fabricants chinois et sud-coréens. Mais ces ambitions se sont heurtées à de nombreux obstacles. La hausse des coûts du capital a rendu l’accès aux financements plus difficile, tandis que des perturbations dans la chaîne d’approvisionnement, exacerbées par l’instabilité géopolitique, ont fragilisé l’ensemble du projet. À cela s’est ajoutée une baisse de la demande pour les véhicules électriques, en partie causée par un marché incertain et la fin de certaines subventions publiques.

Après avoir tenté une restructuration en novembre 2024 sous la loi américaine sur les faillites, Northvolt n’a pas réussi à trouver de nouveaux investisseurs, entraînant son dépôt de bilan.

Un séisme industriel pour la Suède et l’Europe

La faillite de Northvolt est l’une des plus importantes de l’histoire contemporaine de la Suède, mettant en péril 5 000 emplois et plongeant la région de Skellefteå, où se trouvait son usine principale, dans l’incertitude. Pour la presse suédoise, c’est une véritable catastrophe économique.

Au-delà des pertes locales, cet effondrement représente aussi un revers stratégique pour l’Europe. Alors que l’Union européenne visait 25 % de la production mondiale de batteries d’ici 2030, elle ne représente actuellement que 3 % du marché, un chiffre bien loin derrière la Chine et la Corée du Sud. L’échec de Northvolt renforce la domination des acteurs asiatiques comme CATL, BYD, LG et Panasonic, qui pourraient désormais capter une part encore plus importante du marché européen.

Des constructeurs européens contraints de revoir leurs plans

Volkswagen, actionnaire de Northvolt à hauteur de 21 %, misait sur l’entreprise suédoise pour assurer son indépendance en matière de batteries. Désormais, le groupe allemand et d’autres constructeurs comme BMW et Porsche se tournent vers des fournisseurs asiatiques, compromettant encore davantage l’ambition d’une filière européenne autonome.

Certaines voix, comme celle du ministre allemand de l’Économie, Robert Habeck, espèrent un rachat des actifs de Northvolt par un autre acteur européen. Mais la défiance du marché et l’ampleur des dettes rendent cette option incertaine.

Un signal d’alarme pour l’avenir des batteries en Europe

La faillite de Northvolt met en lumière les défis majeurs que doivent relever les industriels européens. Il est essentiel de développer une capacité de production compétitive face aux mastodontes asiatiques et de sécuriser des financements à long terme pour éviter l’instabilité. Renforcer la chaîne d’approvisionnement en matières premières critiques comme le lithium et le cobalt devient également une priorité.

Alors que l’Union européenne s’est fixé comme objectif d’interdire les moteurs thermiques d’ici 2035, la question de l’indépendance énergétique et industrielle reste plus que jamais en suspens. Northvolt devait incarner la réponse européenne à ce défi, mais son effondrement laisse un vide que l’Europe devra combler rapidement pour ne pas être totalement dépendante de l’Asie.

Donald Trump muscle sa politique : expulsion de membres de gangs et guerre commerciale avec l’Europe

Le président américain Donald Trump a pris plusieurs décisions majeures cette semaine, marquant un durcissement de sa politique intérieure et extérieure. Il a invoqué une loi de 1798 pour expulser plus de 200 membres présumés du gang vénézuélien Tren de Aragua, une mesure qui soulève des inquiétudes sur le respect des droits fondamentaux. Dans le même temps, il a menacé d’imposer une taxe de 200 % sur les vins et spiritueux français, ravivant les tensions commerciales entre les États-Unis et l’Union européenne.

Lis notre article sur le Mexique qui extrade 29 narcotrafiquants vers les États-Unis !

Découvre également notre article sur la suspension des sanctions contre la Colombie par Trump !

Expulsion de 200 membres du Tren de Aragua : une loi de temps de guerre controversée

Donald Trump a signé un arrêté d’expulsion visant plus de 200 membres du gang criminel vénézuélien Tren de Aragua, classé comme organisation terroriste par Washington. Pour justifier cette expulsion, il a invoqué la loi sur les étrangers et la sédition de 1798, un texte rarement utilisé et qui permet au président, en temps de guerre, d’expulser des ressortissants d’un pays ennemi. Cette loi avait été appliquée à trois reprises dans l’histoire américaine, notamment pour interner des citoyens japonais et américano-japonais pendant la Seconde Guerre mondiale.

Les expulsions ont été exécutées rapidement, avec le transfert des détenus vers une prison de haute sécurité au Salvador. Le président salvadorien Nayib Bukele a accueilli ces prisonniers, se moquant de la suspension de la mesure ordonnée par un juge fédéral américain après le départ des avions. Cette décision a provoqué un tollé chez les défenseurs des droits humains, qui dénoncent une criminalisation excessive de l’immigration vénézuélienne et une mesure qui pourrait être étendue à d’autres migrants sans réelle justification judiciaire.

L’administration Trump défend cette expulsion en affirmant que le gang menait une guerre irrégulière contre les États-Unis, justifiant ainsi l’application de cette loi exceptionnelle. Cependant, cette décision pourrait créer un précédent dangereux en permettant l’expulsion massive de migrants sans audience, ce qui suscite des critiques de la part d’organisations comme l’ACLU et Democracy Forward.

Trump relance la guerre commerciale : une taxe de 200 % sur le vin français

Sur le front économique, Donald Trump a menacé de tripler les droits de douane sur les vins, champagnes et autres spiritueux européens, en particulier ceux de France. Cette annonce intervient en réponse aux nouveaux tarifs douaniers de 50 % imposés par Bruxelles sur le whisky américain, dans le cadre d’un bras de fer commercial entre l’UE et les États-Unis.

La menace d’une taxe de 200 % sur le vin français est un véritable choc pour les viticulteurs français, notamment ceux du Languedoc et de l’Aude, dont une grande partie de la production est destinée au marché américain. Jean-Claude Mas, un vigneron exportant 150 000 caisses de vin aux États-Unis, voit son marché menacé d’anéantissement. Selon lui, cette taxe serait une “catastrophe civilisationnelle”, car elle pénaliserait des produits emblématiques de la culture française.

Les producteurs s’inquiètent des conséquences économiques d’une telle mesure. Lorsqu’une taxe de 25 % avait été imposée en 2019 sous la présidence Trump, les exportations françaises vers les États-Unis avaient chuté de manière drastique. Les professionnels du secteur attendent une réaction ferme de l’Union européenne et du gouvernement français, réclamant des négociations pour éviter un effondrement des ventes sur leur premier marché à l’exportation.

Face à ces menaces, Bruxelles envisage de riposter avec de nouvelles sanctions commerciales, tandis que le ministre français du Commerce extérieur, Laurent Saint-Martin, a affirmé que la France ne cédera pas aux menaces américaines. Les tensions restent vives, et une nouvelle escalade pourrait avoir un impact significatif sur les échanges transatlantiques, affectant non seulement les vins et spiritueux, mais aussi d’autres industries.

Rodrigo Duterte devant la CPI : un ancien président face à la justice internationale

L’ex-président philippin Rodrigo Duterte a comparu vendredi 14 mars devant la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye. Extradé par Manille, il doit répondre d’accusations de crimes contre l’humanité pour sa guerre sanglante contre la drogue, qui aurait causé des dizaines de milliers de morts, selon des ONG. Son transfert vers la CPI marque une étape majeure dans la lutte contre l’impunité des dirigeants accusés de graves violations des droits humains.

Une comparution sous haute tension

Rodrigo Duterte est arrivé à La Haye mardi 11 mars, après son arrestation à Manille. Son extradition est intervenue alors que sa famille est en plein conflit avec l’actuel président philippin Ferdinand Marcos Jr., avec qui il était pourtant allié.

L’ancien chef d’État, âgé de 79 ans, a comparu par visioconférence depuis sa cellule, invoquant la fatigue et le décalage horaire après son long voyage. Son avocat, Salvador Medialdea, a dénoncé une procédure illégale, affirmant que Duterte avait été « livré de force » à la CPI et qualifiant son arrestation de « kidnapping ». Il a également reproché aux juges de ne pas avoir fourni à la défense une copie du mandat d’arrêt.

Durant cette première audience, la présidente de la Chambre, la juge Motoc, a rappelé à l’accusé ses droits et les charges qui pèsent contre lui, mais Duterte n’a pas encore été autorisé à s’exprimer directement.

Des accusations de crimes contre l’humanité

La guerre contre la drogue menée par Duterte entre 2016 et 2022 a été marquée par des exécutions extrajudiciaires de milliers de personnes, principalement des toxicomanes et de petits trafiquants. Les forces de l’ordre et des milices auraient reçu l’ordre tacite d’éliminer les suspects, sans procès.

Selon le mandat d’arrêt émis par la CPI, Duterte aurait mis en place un « permis de tuer » dès son mandat de maire de Davao, où il aurait fondé un escadron de la mort pour éliminer des criminels présumés. Cette politique s’est ensuite étendue à l’ensemble du pays après son élection à la présidence.

Soutiens et opposants mobilisés

Devant le siège de la CPI, les manifestations ont reflété les divisions profondes autour de cette affaire. D’un côté, les partisans de Duterte, brandissant des drapeaux philippins, dénoncent une persécution politique et réclament sa libération. De l’autre, les familles des victimes demandent justice et espèrent une condamnation historique.

Aux Philippines, la vice-présidente Sara Duterte, fille de l’ex-président, s’est exprimée en dénonçant une « oppression » et a tenté de faire reporter l’audience. Son père, cependant, a déclaré assumer « ses responsabilités » dans un message diffusé sur Facebook avant son départ pour La Haye.

La CPI doit maintenant organiser une audience de confirmation des charges, au cours de laquelle la défense pourra contester les preuves présentées par l’accusation. Si les charges sont confirmées, Duterte fera face à un procès qui pourrait durer plusieurs années.

Cette semaine, entre crise industrielle, tensions politiques et décisions judiciaires, l’actualité a encore été mouvementée. La faillite de Northvolt fragilise l’industrie européenne, tandis que la Guinée et les Philippines vivent des tournants politiques majeurs. Trump, fidèle à lui-même, continue de faire des vagues sur la scène internationale. Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouveau récap des actus marquantes !

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Tags: ActualitésMonde
Raoul Ledudal

Raoul Ledudal

Etudiant en 2ème année de BUT TC - Content Creator & Media Developer chez NextEdu Europe

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