Cette semaine, l’actualité a été riche en rebondissements, entre défis économiques, avancées technologiques et tensions diplomatiques. Au programme : le lancement du projet Stargate à 500 milliards de dollars aux États-Unis, les propositions de l’Ukraine pour résoudre la crise énergétique en Transnistrie, et la réélection controversée de Loukachenko en Biélorussie. On revient aussi sur l’impact de l’IA chinoise DeepSeek, le bras de fer entre Trump et la Colombie sur les migrants, et l’audition marquante du PDG de Michelin face au Sénat. Plonge dans les événements qui ont rythmé cette semaine !
À lire aussi, notre dernier recap’hebdo pour développer ta culture générale ! L’actualité te permet d’enrichir une copie en géopolitique ou en ESH par exemple. D’ailleurs, consulte également notre article sur Trump qui souhaite s’emparer du Groenland !
Retour de Donald Trump au pouvoir : une première semaine aux multiples secousses
Fraîchement réinvesti le 20 janvier 2025, Donald Trump a débuté son mandat avec une avalanche de décrets et de décisions spectaculaires. En moins d’une semaine, il a signé plus de 42 décrets, redéfinissant la politique américaine sur des sujets cruciaux tels que l’immigration, l’environnement, la diplomatie et les droits civiques. Ces actions rapides et parfois controversées donnent un aperçu d’un mandat qui promet d’être aussi tumultueux que son précédent.
Une ligne dure sur l’immigration et la diversité
Dès son premier jour au pouvoir, Donald Trump a durci la politique migratoire en déclarant un état d’urgence national à la frontière mexicaine. Cette décision a permis l’envoi de 1 500 soldats supplémentaires pour renforcer la sécurité, tout en renommant symboliquement le « golfe du Mexique » en « Golf de l’Amérique ». Dans un élan encore plus radical, il a suspendu les vols accueillant des réfugiés, affectant notamment 1 600 Afghans ayant aidé les États-Unis.
Cette posture ferme s’est poursuivie avec l’élimination des programmes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI) au sein de l’administration fédérale. Qualifiés de « dangereux » et « humiliants » par le président, ces programmes seront supprimés dans un délai de 60 jours, marquant une rupture nette avec les politiques d’inclusion promues par ses prédécesseurs. Dans le même esprit, Trump a signé un décret limitant les genres reconnus par l’État à « masculin » et « féminin », niant l’existence officielle des personnes transgenres.
L’environnement et la santé mondiale relégués au second plan
Donald Trump a immédiatement réaffirmé son scepticisme envers les initiatives internationales en matière de santé et d’environnement. Il a annoncé le retrait des États-Unis de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), mettant en péril des programmes humanitaires cruciaux. Dans le même temps, il a signé un décret officialisant la sortie des États-Unis de l’accord de Paris sur le climat, tout en promettant des assouplissements des lois environnementales pour favoriser l’exploration pétrolière et gazière.
Ces décisions, déjà controversées lors de son premier mandat, sont perçues par beaucoup comme un recul important sur des enjeux mondiaux, d’autant que les États-Unis, en tant que plus grande puissance économique, jouent un rôle central dans ces domaines.
Une diplomatie provocatrice
Sur le plan diplomatique, Donald Trump a immédiatement établi un ton conflictuel. Alors qu’il avait promis de mettre fin à la guerre en Ukraine, il a débuté son dialogue avec Vladimir Poutine par un ultimatum via son réseau social Truth Social : « Réglez ça maintenant, et arrêtez cette guerre ridicule. » Ces propos menaçants, accompagnés de menaces de sanctions économiques, n’ont pas reçu l’accueil escompté du Kremlin, bien que ce dernier se dise ouvert à des discussions respectueuses.
Trump a également signé un décret ordonnant la déclassification complète des archives liées aux assassinats de JFK, Martin Luther King Jr., et Robert F. Kennedy, promettant « la transparence totale » sur ces événements historiques. Cette décision, saluée par certains, pourrait toutefois réveiller des tensions et des controverses latentes.
TikTok et les enjeux économiques
Dans un geste inattendu, Donald Trump a suspendu le bannissement de TikTok, déclarant vouloir « sauver » l’application et éviter une rupture avec ses 170 millions d’utilisateurs américains. Il a proposé que les États-Unis prennent une participation de 50 % dans l’entreprise, ouvrant la voie à une « coentreprise » américaine. Cependant, ce répit pourrait être de courte durée, TikTok restant sous le coup de nombreuses questions juridiques et politiques, notamment sur la sécurité des données.
Par ailleurs, Trump a annoncé une augmentation prochaine des droits de douane à grande échelle, visant non seulement la Chine mais aussi l’Union européenne et les voisins nord-américains. Cette stratégie protectionniste s’accompagne d’un appel direct aux entreprises : « Fabriquez en Amérique, et nous vous offrirons les taxes les plus basses au monde. » Ces décisions, bien qu’attractives pour certains industriels, inquiètent les partenaires commerciaux des États-Unis et risquent de déclencher des représailles.
L’Ukraine propose du charbon à la Transnistrie pour pallier les coupures de gaz
Dans un geste à la fois humanitaire et stratégique, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé, le 25 janvier 2025, de livrer « gratuitement » du charbon à la région séparatiste prorusse de Transnistrie, en Moldavie. Cette initiative vise à compenser la fin des approvisionnements en gaz russe, coupés depuis le 1er janvier à la suite de l’expiration du contrat de transit entre Kiev et Moscou.
Consulte notre article sur la Transnistrie privée de gaz russe !
Une crise énergétique dans un territoire sous tension
La Transnistrie, une enclave séparatiste de 300 000 habitants, dépendait jusqu’à récemment des livraisons gratuites de gaz russe via Gazprom. Ce soutien, perçu comme un moyen pour Moscou de renforcer les séparatistes face aux autorités moldaves, a pris fin lorsque l’Ukraine a décidé de ne pas renouveler le contrat de transit. Depuis, la région est confrontée à des coupures majeures de chauffage et d’électricité, exacerbant une crise énergétique déjà tendue.
La proposition ukrainienne de fournir du charbon vise à alimenter la centrale électrique de Cuciurgan, qui produisait auparavant 70 % de l’électricité de la Moldavie. Cependant, ce territoire reste largement isolé, et des manifestations ont éclaté pour demander à Chisinau, la capitale moldave, de faciliter la reprise des approvisionnements russes.
Un contexte géopolitique complexe
La décision de Kiev de ne pas renouveler le contrat avec Gazprom reflète sa volonté de réduire sa dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie, notamment depuis l’invasion de son territoire en 2022. En fournissant du charbon à la Transnistrie, l’Ukraine envoie également un message clair sur son rôle en tant qu’acteur régional, capable de proposer des alternatives aux ressources russes.
Ce geste ne se limite pas à un simple effort humanitaire. Volodymyr Zelensky a suggéré que la Transnistrie pourrait, en retour, fournir de l’électricité à l’Ukraine, dont les infrastructures énergétiques ont été gravement endommagées par les bombardements russes. Cette proposition met en lumière les interconnexions complexes entre les crises énergétiques et les enjeux géopolitiques dans la région.
Une Moldavie entre deux feux
Alors que la Moldavie a progressivement diversifié ses approvisionnements en gaz et électricité grâce à la Roumanie, la situation en Transnistrie reste un point de fragilité. Le Premier ministre moldave, Dorin Recean, a accusé Moscou de chercher à « créer de l’instabilité » en Moldavie, notamment en refusant de négocier de nouveaux trajets pour l’acheminement du gaz.
De son côté, la présidente moldave Maia Sandu a salué l’offre ukrainienne tout en appelant les autorités de Transnistrie à accepter cette aide pour résoudre rapidement la crise. Cependant, l’ombre d’une extension du conflit ukrainien plane sur la région, avec des craintes d’une déstabilisation orchestrée par la Russie.
Alexandre Loukachenko réélu pour un septième mandat en Biélorussie : une victoire sans surprise
Le 26 janvier 2025, Alexandre Loukachenko, autocrate à la tête de la Biélorussie depuis 1994, a été réélu président avec 87,6 % des voix, selon un sondage officiel réalisé à la sortie des urnes. Ce résultat, attendu de tous, marque une nouvelle consolidation de son pouvoir dans une élection qualifiée de « mascarade » par l’Union européenne et l’opposition en exil.
Un scrutin verrouillé et sans suspense
Les Biélorusses se sont rendus aux urnes pour une élection présidentielle où toute opposition véritable avait été méthodiquement éliminée. Les quatre autres candidats autorisés à participer au scrutin étaient triés sur le volet et soutenaient ouvertement le régime. En amont, des dissidents politiques, des journalistes et des activistes avaient été emprisonnés ou contraints à l’exil. Plus de 300 000 personnes ont quitté le pays pour fuir la répression, notamment après les manifestations historiques de 2020.
Malgré les critiques internationales, Loukachenko a maintenu un discours défensif, affirmant que le Bélarus vivait sous une « démocratie brutale » où l’ordre était maintenu à tout prix. Il a justifié la répression de ses opposants en évoquant une surveillance étroite de ceux qu’il qualifie de « fauteurs de troubles ».
Une Biélorussie isolée et dépendante de la Russie
Depuis plusieurs années, la Biélorussie fait face à des sanctions économiques occidentales imposées en réponse à la répression politique et au soutien logistique de Minsk à l’invasion russe de l’Ukraine. Loukachenko, grand allié de Vladimir Poutine, a accepté que son territoire serve de base pour les opérations militaires russes, renforçant davantage l’isolement de son pays sur la scène internationale.
Sur le plan économique, la Biélorussie, toujours marquée par un système centralisé hérité de l’Union soviétique, s’appuie principalement sur la Russie pour ses exportations et son développement. Les sanctions ont entraîné la perte de nombreux marchés européens et une dépendance accrue envers Moscou, que Loukachenko présente comme un partenaire stratégique face à ce qu’il qualifie de « pressions occidentales ».
Réactions internationales et dénonciations de l’opposition
L’Union européenne a fermement condamné l’élection, la qualifiant de « simulacre » et annonçant des sanctions supplémentaires ciblant le régime de Loukachenko. Kaja Kallas, cheffe de la diplomatie européenne, a souligné que « la démocratie exige des élections libres, équitables et transparentes », conditions qui ne sont pas remplies en Biélorussie. Les ONG de défense des droits humains ont également dénoncé les violations massives des libertés fondamentales.
À Varsovie, Svetlana Tikhanovskaïa, figure de proue de l’opposition en exil, a qualifié le scrutin de « farce » et appelé à la libération des prisonniers politiques. Elle a aussi dénoncé la diffusion par le régime d’une vidéo générée par intelligence artificielle prétendant qu’elle renonçait à son poste de dirigeante en exil, une manœuvre qu’elle a décrite comme un « fake éhonté ».
Ce scrutin, marqué par son absence totale de compétition démocratique, confirme l’intention de Loukachenko de rester au pouvoir à tout prix, dans un climat de tensions croissantes avec l’Occident.
Stargate : un projet titanesque à 500 milliards de dollars
Le lancement du projet Stargate, orchestré par Donald Trump, marque un tournant majeur dans l’industrie de l’intelligence artificielle (IA). Avec un budget colossal de 500 milliards de dollars répartis sur quatre ans, ce programme ambitionne de propulser les États-Unis au sommet de l’innovation technologique mondiale.
Une infrastructure ambitieuse pour l’IA américaine
Stargate repose sur une coalition stratégique entre des géants comme OpenAI, SoftBank, et Oracle, ainsi que des investisseurs tels que le fonds MGX des Émirats arabes unis. Le projet se concentre sur la construction de centres de données géants à travers les États-Unis, dont les premiers sont déjà en cours de développement au Texas. Chaque centre nécessitera des capacités colossales de stockage et de traitement, équivalentes à celles de plusieurs centrales nucléaires.
L’objectif principal est de créer les bases physiques et numériques pour supporter des avancées telles que l’intelligence artificielle générale (AGI) et des innovations dans le domaine médical, comme la détection précoce de cancers ou l’amélioration des dossiers médicaux électroniques.
Donald Trump a vanté les retombées économiques directes, prévoyant la création de 100 000 emplois et un renforcement du leadership technologique américain face à la concurrence internationale, notamment chinoise.
DeepSeek : l’innovation chinoise à moindre coût
Tandis que les États-Unis déploient un budget astronomique de 500 milliards de dollars pour le projet Stargate, la Chine frappe fort avec DeepSeek, un modèle d’intelligence artificielle performant développé avec un budget modeste de seulement 6 millions de dollars. Ce contraste saisissant illustre deux approches radicalement différentes dans la course à l’IA.
Avec des coûts de production réduits grâce à l’utilisation de technologies open source et de puces peu coûteuses, DeepSeek bouscule les géants de la tech. DeepSeek repose sur une technologie appelée Mixture-of-Experts, qui optimise la gestion des ressources matérielles tout en offrant des performances comparables à celles des leaders américains comme OpenAI. Ses performances ont immédiatement attiré l’attention, provoquant une chute des actions de sociétés comme Nvidia et une remise en question des stratégies de dépense massive dans l’IA.
Cette approche plus accessible, qui favorise l’innovation à moindres coûts, pourrait redéfinir les priorités des entreprises dominantes et élargir l’accès aux technologies d’IA à un plus grand nombre d’acteurs.
DeepSeek illustre également la capacité de la Chine à contourner les restrictions imposées par les États-Unis en s’appuyant sur des solutions locales et des innovations techniques astucieuses. Ce modèle remet en question la domination occidentale et accentue la compétition internationale dans la course à l’intelligence artificielle.
Lucie : le fiasco de l’IA française
Face à ces initiatives impressionnantes, la France a tenté de s’imposer avec Lucie, un projet d’IA générative soutenu par l’État via le programme France 2030. Malheureusement, son lancement a tourné au désastre. Après seulement deux jours de mise en ligne, Lucie a été retirée en raison de nombreuses erreurs, des moqueries sur les réseaux sociaux et un manque de préparation.
Conçue comme une alternative transparente et accessible, Lucie est encore en phase expérimentale, avec des lacunes dans son apprentissage et des garde-fous inexistants. Bien que son ambition de fournir un modèle de langage fiable et éthique soit louable, l’absence de moyens comparables à ceux des projets américains ou chinois limite ses capacités.
Lucie reflète les défis auxquels l’Europe est confrontée pour rivaliser dans un secteur dominé par les États-Unis et la Chine. Le manque de financements adéquats et de données d’entraînement de grande ampleur freine le développement de projets compétitifs à l’échelle mondiale.
Stargate, DeepSeek et Lucie : une compétition à plusieurs vitesses
Ces trois initiatives montrent des approches différentes de l’intelligence artificielle : Stargate incarne la domination technologique par des investissements massifs, DeepSeek privilégie l’ingéniosité et l’efficacité économique, tandis que Lucie reflète les défis de l’Europe pour rester dans la course. Cette compétition, marquée par des ambitions géopolitiques et des innovations majeures, déterminera les leaders de l’IA de demain.
Trump suspend les sanctions contre la Colombie après un accord sur les migrants
Dimanche 26 janvier, Donald Trump a annoncé la suspension des sanctions contre la Colombie, après que Bogota a accepté les conditions américaines pour le rapatriement des migrants illégaux. Cet accord met un terme à une crise diplomatique qui avait éclaté quelques heures plus tôt.
Un accord sur le rapatriement
Le gouvernement colombien, dirigé par Gustavo Petro, a accepté le rapatriement sans restriction des migrants illégaux renvoyés des États-Unis, y compris à bord d’avions militaires américains. En contrepartie, Washington a suspendu des sanctions douanières sévères, qui auraient imposé des droits de douane allant jusqu’à 50 % sur les produits colombiens. La Maison Blanche a toutefois précisé que les sanctions sur les visas resteraient en vigueur jusqu’à ce qu’un premier vol de migrants expulsés arrive avec succès en Colombie.
Une tension diplomatique évitée de justesse
La crise avait éclaté lorsque la Colombie avait refusé d’autoriser l’atterrissage d’avions militaires américains transportant des migrants expulsés, invoquant la nécessité de traiter les migrants avec dignité. En réponse, Washington avait menacé d’imposer des sanctions économiques lourdes et de révoquer les visas des membres du gouvernement colombien. Face à l’ampleur des menaces, Bogota a rapidement cédé, qualifiant l’impasse de « surmontée ».
Donald Trump a salué cet accord comme une preuve que « l’Amérique est de nouveau respectée ». Cette annonce s’inscrit dans le cadre de sa promesse de lancer « le plus grand programme d’expulsions de l’histoire américaine ». Depuis son investiture, son administration a déjà expulsé des centaines de migrants vers d’autres pays d’Amérique latine, notamment le Guatemala et le Brésil, dans des conditions critiquées par des observateurs internationaux.
L’audition de Florent Menegaux, PDG de Michelin, face au Sénat
Le 22 janvier, Florent Menegaux, président de Michelin, s’est exprimé devant la Commission des affaires économiques du Sénat, offrant une analyse détaillée des défis auxquels l’entreprise fait face dans un contexte économique tendu.
Consulte également notre article sur la fermeture des usines Michelin à Cholet et Vannes !
Les fermetures d’usines et la concurrence mondiale
Michelin a récemment annoncé la fermeture de deux usines en France, à Vannes et Cholet, d’ici 2026, menaçant 1 254 emplois. Ces fermetures font suite à d’autres en Allemagne, en Pologne et en Chine. M. Menegaux a expliqué que ces décisions résultaient de l’effondrement des ventes de pneus pour camions et camionnettes, aggravé par une concurrence chinoise féroce et des surcapacités de production en Europe. « Il est deux fois plus cher de produire des pneus en Europe qu’en Asie », a-t-il déclaré, pointant des coûts énergétiques et salariaux élevés.
Des coûts énergétiques et salariaux insoutenables
Le dirigeant a dénoncé l’impact de la flambée des prix de l’énergie et la fiscalité excessive en France. Il a détaillé l’écart entre les coûts salariaux brut et net, comparant défavorablement la France à d’autres pays comme l’Allemagne ou le Canada. « Le problème n’est pas le niveau des salaires, mais l’écart entre le brut et le net », a-t-il souligné.
Réglementation et instabilité en Europe
Florent Menegaux a critiqué la réglementation européenne, qu’il a qualifiée de « cauchemar administratif ». Il a dénoncé les déclinaisons nationales des directives européennes, qui compliquent les investissements et accentuent les désavantages concurrentiels face aux États-Unis et à la Chine. Concernant la transition vers les véhicules électriques, il a estimé que le rythme imposé était irréaliste et pénalisait l’industrie européenne.
Malgré ces défis, M. Menegaux a défendu les atouts de la France, notamment une électricité décarbonée et des infrastructures solides. Il a appelé à davantage de stabilité réglementaire et fiscale, soulignant que le crédit d’impôt recherche (CIR) restait un outil crucial pour maintenir la compétitivité de la recherche en France. Il a néanmoins prévenu que l’entreprise pourrait revoir ses priorités si cet avantage venait à disparaître.
Et voilà pour cette semaine, entre avancées technologiques, défis industriels et tensions diplomatiques. Le monde bouge à un rythme effréné, et on reste là pour t’aider à en suivre les moments clés. Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouveau récap’ et d’autres actualités qui façonnent notre avenir !
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